Formateur , Laval
Win Sport School Laval te propose de découvrir le témoignage de Patrice Ribaton. Nous le remercions vivement pour le temps qu’il nous a accordé.
Actuellement formateur chez Win Sport School Laval au sein du Bachelor Management du Sport, nous te proposons de découvrir son parcours atypique.
Pouvez-vous vous présentez ?
J’ai réalisé des études de philosophie mais j’ai aussi intégré une école de commerce. J’ai été footballeur amateur presque de haut niveau. Après mes études, j’ai travaillé pour de grands groupes tels que Procter & Gamble. J’ai également travaillé pour un grand groupe Allemand, j’occupais le poste de coach en interne. J’ai été dirigeant de club sportif de haut niveau mais aussi mécène.
J’ai créé une entreprise dans le sport ou je gère par exemple les Relations Publiques. Je suis propriétaire de plusieurs marques d’évènements sportifs dont une créée par 3 anciens étudiants : Foot Expo . Il s’agit d’un salon B to B et B to C qui réunira tous les publics attachés au football.
Je travaille avec différentes enseignes dans la France dont Win Sport school, j’interviens également dans d’autres grandes écoles de Management.
Qu’est-ce qu’être formateur chez Win Sport School ?
Un ami à moi, créateur du stade Malherbe avait des relations avec l’école Win Sport School de Caen. L’opportunité de devenir formateur a croisé ma route.
J’anime actuellement 40 modules allant du Bachelor au Master. L’enseignement est fondamental puisque c’est la transmission. Cependant cette transmission doit s’opérer des deux côtés. Être en contact avec des étudiants leur apporte des connaissances, de l’expérience, des compétences. Ils m’apportent de leur côté leur façon d’être, leur manière de voir le monde, de s’exprimer…
Au sein du campus de Laval, je suis formateur d’un petit groupe de Bachelor, l’enseignement est hyper qualitatif dans un cadre privilégié de proximité. C’est un plaisir d’enseigner dans l’école du management de Laval.
J’ai rencontré 2 personnes qui m’ont marqué dans ma vie. Il s’agit de deux grands hommes. Charles Aznavour avec qui j’ai eu l’opportunité d’échanger et Bernard Tapis. La leçon que j’en ai tiré est qu’il faut sans cesse travailler. Il ne suffit pas d’être doué.
Faisons œuvre de travail, c’est la vérité qui prime on ne juge pas sur son CV. »
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